Nouvelle production de l’Opéra de Lausanne
Le Moyen-Âge lui sert de prétexte et de décor, comme l’Antiquité à Offenbach. La dérision, le ridicule et la parodie, sur des mélodies populaires, sont au rendez-vous de ce pastiche en musique, où l’on se plaira à suivre les aventures des dames Mélusine, Totoche et Angélique. Les chevaliers Rodomont et Roland, ainsi que Merlin, participent à cette comédie enlevée et hilarante.
* Le jour de la représentation, la billetterie en ligne est fermée dès 12h.
Des places sont en vente sur place 1h avant le début du spectacle.
Paroles de Henri Chivot et Alfred Duru
Première représentation de la version originale au Théâtre des Bouffes-Parisiens, Paris, le 17 novembre 1866
Version définitive représentée au Théâtre des Folies-Dramatiques, Paris, le 2 mars 1872
Nouvelle production de l’Opéra de Lausanne
Jacques Blanc étudie le piano au Conservatoire de Marseille et la direction d’orchestre avec Jésus Etcheverry. Il commence comme chef de chant puis devient chef de choeur aux opéras de Nantes et Strasbourg. Il assiste Jeffrey Tate et George Prêtre, puis devient lui-même chef d’orchestre à Bordeaux, Montpellier, Limoges, Nice et Nantes. De 1986 à 1988, il est directeur des études vocales au CNIPAL de Marseille. De 1999 à 2010, il est chef de chœur permanent et directeur des études vocales de l’Opéra de Bordeaux, et participe notamment à Turandot, Carmen et La bohème. Il se consacre aujourd’hui à la direction et à l’étude du répertoire avec de jeunes chanteurs afin de les orienter dans leurs carrières.
Il a récemment dirigé La Traviata lors d’une tournée avec l’Opéra en Plein Air. À l’Opéra de Lausanne : Die Zauberflöte (1991) en tant qu’assistant d’Armin Jordan ; Phi-Phi (2014) et La belle de Cadix (2016) en tant que chef d’orchestre ; Manon (2014), La veuve joyeuse (2014), My fair Lady (2015), Les mamelles de Tirésias (2016), La vie parisienne (2016), La bohème, Hamlet et Lucia di Lammermoor (2017), La Chauve-Souris (2018) comme chef de chœur.
Jean-François Vinciguerra étudie l’art dramatique à l’ENSATT, l’art lyrique au Conservatoire de Paris avec Michel Roux et à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris avec Michel Sénéchal. Il se perfectionne auprès de Denise Dupleix et Lionel Sarrazin. A l’Opéra Bastille, il interprète Wagner de Faust ; à l’Opéra Comique, Bartolo du Barbiere di Siviglia et le baron Popoff dans La veuve joyeuse. Il se produit également dans Salome, Lucrezia Borgia, L’elisir d’amore, La damnation de Faust, Les contes d’Hoffmann…, sur de nombreuses scènes d’Europe et lors de grands festivals. En tant que comédien et metteur en scène, il remporte un vif succès au Théâtre du Petit Montparnasse avec son spectacle consacré à Jean Yanne, On n’arrête pas la connerie. À l’Opéra de Lausanne : Pickering dans My fair Lady (2015), Frank dans La Chauve-Souris (2018).
Après l’obtention d’une licence en langue italienne en 2014, Laurène Paternò intègre la Haute École de Musique de Lausanne dans la classe de Stephan MacLeod, en Bachelor puis en Master de Soliste en 2017. Dans ce cadre, elle participe à une création musicale donnée à Rio de Janeiro lors de la semaine d’ouverture des Jeux Olympiques en 2016. Elle remporte le 1er prix du concours Kattenburg à l’Opéra de Lausanne ainsi que le prix de l’HEMU de l’édition 2019.
Elle interprète les rôles de Blanche de la Force dans Dialogues des carmélites et Susanna dans Le nozze di Figaro, ce dernier sous la direction de Leonardo Garcìa Alarcón, opéras produits par la Haute École de Musique de Lausanne. En 2019, elle interprète également les rôles de Sofiya et Yelena dans l’opéra pour enfants Laïka, le chien dans l’espace de Russell Hepplewhite au Nouvel Opéra de Fribourg. En concert, elle a également eu l’occasion de se produire aux côtés d’ensembles notables tels que Gli Angeli Genève, l’Orchestre de Chambre de Lausanne ou l’Orchestre de Chambre Fribourgeois, dans un répertoire sacré ou opératique.
À l’Opéra de Lausanne elle interprète les rôles de Serpina dans La serva padrona en 2018 (opéra donné au Bhoutan), de Mélusine dans Les Chevaliers de la Table ronde d’Hervé en 2019 et faisant aussi partie de la distribution dans L’elisir d’amore avec le rôle de Giannetta en 2020.
Après avoir longtemps étudié le piano, Anne Sophie Petit découvre le chant au sein de la Maîtrise de Sainte-Anne d’Auray en Bretagne. Parallèlement à l’obtention d’un master en langue et civilisation anglophones, elle obtient un DEM de chant au CRR de Paris puis intègre la classe de Stephan MacLeod à la Haute école de musique de Lausanne, où elle poursuit actuellement un master de soliste. Elle a notamment interprété la Reine de la Nuit dans Die Zauberflöte, Soeur Constance dans Dialogues des carmélites et Susanna dans Le nozze di Figaro. Elle se produit régulièrement avec l’ensemble Gli Angeli Genève et y chante la partie de soprano solo dans la Messe en ut mineur, ainsi que des airs de concert de Mozart. Plus récemment, elle a chanté des cantates profanes de Rameau au Festival de musique ancienne d’Utrecht.
À l’Opéra de Lausanne : Musetta dans La bohème (2017), la Fée dans Cendrillon (2018).
Pour la première fois à l’Opéra de Lausanne.
Né en Valais, Pierre Héritier est initié au chant dès son plus jeune âge au sein de la Schola des Petits Chanteurs de Sion. Après des études universitaires, il intègre la Haute école de musique de Genève, dans la classe de Gilles Cachemaille. Pendant ses études, il profite de l’enseignement d’Isabelle Henriquez et David Jones entre autres. De 2014 à 2017, il est membre de l’Opéra Studio de l’Opéra de Lyon où il travaille avec Jean-Paul Fouchécourt. A l’Opéra de Lyon, il chante l’Horloge/Le Chat (L’enfant et les sortilèges), Mme Madou (Mesdames de la Halle), Tom (Le Petit Poucet, Aboulker), Liberto/Littore (L’incoronazione di Poppea), sous la direction de Martyn Brabbins, Philippe Forget, Nicholas Jenkins, Sébastien d’Hérin. En octobre 2017, il remporte le 1er prix Homme du Concours International de Vivonne. En 2011, il est membre de l’Académie Baroque d’Ambronay, placée sous la direction de Sigiswald Kuijken. En 2013, il participe à la création de 4.48 Psychosis de Blaise Ubaldini, sous la direction de Pierre Bleuse. Sur scène, il chante notamment les rôles de Don Giovanni, Papageno, Guglielmo, Junius (The rape of Lucretia), Harasta (La petite renarde rusée)… Dernièrement, il a remporté un vif succès en incarnant le rôle de Lord Cockburn dans Fra Diavolo d’Auber à Zurich.
Née à Milan, la mezzo-soprano franco-italienne Béatrice Nani effectue sa formation à Lausanne avec Brigitte Balleys. Elle se perfectionne actuellement auprès de Marie-Ange Todorovitch. Passionnée par le théâtre, elle se forme auprès de Gaëlle Bourgeois et Fiona Chauvin à Paris et reçoit les précieux conseils de Thierry Pillon, Jean-Yves Ruf et Shin Iglesias.
Sur scène, elle chante dans Bouche à Bouche d’Yvain au Théâtre Déjazet à Paris ainsi que dans le Requiem de Bottesini au Victoria Hall. Elle crée le rôle d’Ella Maillart dans Le ruisseau noir de Guy-François Leuenberger au Théâtre du Grütli à Genève et interprète Loïs (Kiss me Kate de Cole Porter) au Théâtre du Galpon à Genève. En juillet 2020, elle sera la Marquise de Berkenfield (La fille du régiment) au Festival Opus Opéra à Nice. Elle se produit également avec la jeune pianiste Emilie Roulet avec leur duo Battements d’Elles.
À l’Opéra de Lausanne : Louise dans La vie parisienne (2016), Cricri dans Le chanteur de Mexico (2017), Armelinde dans Cendrillon (2018) et la Duchesse Totoche dans Les chevaliers de la table ronde (2019).
Jean Miannay débute le chant lyrique au Conservatoire de Nantes, dans la classe de Natasha Siehoff. Après deux années, il va étudier à Lille la musicologie et entre dans la classe de Françoise Semellaz. Durant ces années, Jean interprète des rôles tels que Tamino dans La flûte enchantée de Mozart, Pelléas dans Pelléas et Mélisande de Debussy, Basilio dans Le Nozze di Figaro de Mozart.
En 2017, il participe au festival international lyrique de Belle-île en Mer, puis entre dans la classe de Brigitte Balleys à la Haute Ecole de Musique de Lausanne, où il étudie actuellement. Il est lauréat de la fondation Colette Mosetti en 2108. Il a été invité à chanter cet automne à Lausanne le Prince dans Cendrillon de Pauline Viardot. Lauréat du 26ème Concours international de chant de Clermont-Ferrand en 2019 pour le rôle de Beppe, il a également remporté le Grand Prix du Concours Raymond Duffaut à l’Opéra du Grand Avignon.
Né en Suisse, Joël Terrin étudie à Lausanne avec Frédéric Gindraux, puis à Londres avec Rudolf Piernay. Il travaille également avec Dame Felicity Lott, Eugene Asti ou Francois Le Roux. A l’Opéra de Lausanne, il se produit en soliste et crée des récitals pour enfants ainsi qu’un workshop durant les Jeux Olympiques de la Jeunesse de Lausanne en 2020. À Londres, il travaille pour le London Symphony Orchestra, la BBC ainsi que pour le Wigmore Hall, en tant que soliste, curateur de récitals, ou encore lors de groupes d’études de musique vocale. Il fait partie du French Song Exchange entre le Wigmore Hall et la Salle Cortot à Paris, où il a la chance de faire ses débuts en 2019. Joël Terrin est artiste de la fondation Samling, et reçoit le titre d’ambassadeur de la mélodie pour le festival Oxford Lieder pour l’année 2020. Il est boursier des fondations du Pour‑cent culturel Migros, Friedl‑Wald et Colette Mosetti. Il remporte le English Song Prize en 2020, le deuxième Prix et le Prix du public au concours Kattenburg en 2019, ainsi que le deuxième Prix au Somerset Song Prize. En projet : des récitals au Wigmore Hall, a Aldeburgh ainsi qu’au Oxford Lieder Festival.
À l’Opéra de Lausanne : un cockney dans My fair Lady (2015), Juanito dans La belle de Cadix (2016), un Spirito dans L’Orfeo (2016), Gontran, Urbain et Alfred dans La vie parisienne (2016), Melchior dans Amahl et les visiteurs du soir (2017) et Lancelot dans Les chevaliers de la table ronde (2019).
Bastien Combe étudie la trompette et le chant à Grenoble avant de poursuivre sa formation de chanteur à Neuchâtel avec Marcin Habela. Il est finaliste du concours de Lied Mahler de Genève. En concert, il chante l’évangéliste dans le Weihnachtsoratoruim de Bach avec l’OSR. Sur scène, il interprète les rôles de D’Estourville (Ascanio de Saint-Saëns) à Genève, Tamino (Die Zauberflöte) à Berne. En projet : le rôle de Herr Schulz dans Cabaret au Théâtre du Galpon.
A l’Opéra de Lausanne : Renaud de Montauban dans Les chevaliers de la table ronde (2019)
D’abord étudiant à l’École nationale de l’Opéra de Paris, Jean-Philippe Guilois entre ensuite à l’École Rudra Béjart, compagnie avec laquelle il participe à plusieurs spectacles et tournées internationales. Il fait sa première expérience professionnelle aux côtés de Cisco Aznar et de la Compagnie Buissonnière dans Parce que je t’aime, présenté au Théâtre de Vidy. Tout en multipliant les contrats en tant que danseur, il est introduit au monde de l’opéra comme régisseur, puis sera assistant à la mise en scène pour La bohème, Nabucco et Carmen au Festival Avenches Opéra. Il se consacre actuellement à la création de chorégraphies, pièces de théâtre et mises en scène.
Il a travaillé comme régisseur, assistant à la mise en scène et assistant à la chorégraphie pour de nombreuses productions de l’Opéra de Lausanne, dont My Fair Lady (2015), La vie parisienne (2016) et Don Giovanni (2017).
Jean-François Vinciguerra étudie l’art dramatique à l’ENSATT, l’art lyrique au Conservatoire de Paris avec Michel Roux et à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris avec Michel Sénéchal. Il se perfectionne auprès de Denise Dupleix et Lionel Sarrazin. A l’Opéra Bastille, il interprète Wagner de Faust ; à l’Opéra Comique, Bartolo du Barbiere di Siviglia et le baron Popoff dans La veuve joyeuse. Il se produit également dans Salome, Lucrezia Borgia, L’elisir d’amore, La damnation de Faust, Les contes d’Hoffmann…, sur de nombreuses scènes d’Europe et lors de grands festivals. En tant que comédien et metteur en scène, il remporte un vif succès au Théâtre du Petit Montparnasse avec son spectacle consacré à Jean Yanne, On n’arrête pas la connerie. À l’Opéra de Lausanne : Pickering dans My fair Lady (2015), Frank dans La Chauve-Souris (2018).
Jacques Blanc étudie le piano au Conservatoire de Marseille et la direction d’orchestre avec Jésus Etcheverry. Il commence comme chef de chant puis devient chef de choeur aux opéras de Nantes et Strasbourg. Il assiste Jeffrey Tate et George Prêtre, puis devient lui-même chef d’orchestre à Bordeaux, Montpellier, Limoges, Nice et Nantes. De 1986 à 1988, il est directeur des études vocales au CNIPAL de Marseille. De 1999 à 2010, il est chef de chœur permanent et directeur des études vocales de l’Opéra de Bordeaux, et participe notamment à Turandot, Carmen et La bohème. Il se consacre aujourd’hui à la direction et à l’étude du répertoire avec de jeunes chanteurs afin de les orienter dans leurs carrières.
Il a récemment dirigé La Traviata lors d’une tournée avec l’Opéra en Plein Air. À l’Opéra de Lausanne : Die Zauberflöte (1991) en tant qu’assistant d’Armin Jordan ; Phi-Phi (2014) et La belle de Cadix (2016) en tant que chef d’orchestre ; Manon (2014), La veuve joyeuse (2014), My fair Lady (2015), Les mamelles de Tirésias (2016), La vie parisienne (2016), La bohème, Hamlet et Lucia di Lammermoor (2017), La Chauve-Souris (2018) comme chef de chœur.
Après des études d’électronicien, Denis Foucart fait ses premiers pas dans l’événementiel, réalisant les éclairages de nombreuses manifestations à travers le monde, dont le concert de Jean Michel Jarre, produit pour l’entrée en l’an 2000, en Égypte. De 2000 à 2003, il est engagé comme régisseur lumières pour les tournées internationales des comédies musicales Notre dame de Paris et Roméo et Juliette. Fin 2003, il devient chef éclairagiste du Béjart Ballet Lausanne, et signe ses premiers éclairages de ballets avec les productions de Zarathoustra, La vie du danseur, ou encore Le tour du monde en 80 minutes. Pour le Festival Avenches Opéra, il crée les lumières de La bohème et de Nabucco.
Chef électricien à l’Opéra de Lausanne depuis 2008, il reprend les lumières de Pierre et le loup, Die Zauberflöte, La veuve joyeuse, L’enfant et les sortilèges et crée celles de Phi-Phi (Route Lyrique 2014), de La Belle de Cadix (Route Lyrique 2016), ainsi que celles de l’opéra jeune public, Amahl et les visiteurs du soir en 2017 et Cendrillon en 2018. Sa dernière création : Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019).
Après une formation de costumière de théâtre Amélie Reymond est engagée à l’Opéra de Lausanne comme couturière et habilleuse de 2002 à 2009. Elle participe à la réalisation de nombreux costumes pour diverses productions d’opéra. C’est dans ce contexte qu’on lui confie également la réalisation complète des costumes pour Les moutons bleus, en 2008, et pour L’enfant et les sortilèges, en 2010. Elle ouvre son propre atelier en 2007, où elle crée et réalise des costumes pour divers théâtre, comédies musicales, danse et expositions. Elle est nommée responsable adjointe du service costumes de l’Opéra de Lausanne de 2009, puis responsable du service costumes en 2016. De 2012 à 2016, elle est également responsable des costumes pour Avenches Opéra ; elle y travaille comme assistante du costumier pour la production de Carmen, en 2014, et signe sa première création de costumes d’opéra en 2015 pour Il barbiere di Siviglia.
À l’Opéra de Lausanne : elle crée les costumes de La Belle de Cadix (Route Lyrique 2016), Les Zoocrates (2017) et Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2018).
D’abord étudiant à l’École nationale de l’Opéra de Paris, Jean-Philippe Guilois entre ensuite à l’École Rudra Béjart, compagnie avec laquelle il participe à plusieurs spectacles et tournées internationales. Il fait sa première expérience professionnelle aux côtés de Cisco Aznar et de la Compagnie Buissonnière dans Parce que je t’aime, présenté au Théâtre de Vidy. Tout en multipliant les contrats en tant que danseur, il est introduit au monde de l’opéra comme régisseur, puis sera assistant à la mise en scène pour La bohème, Nabucco et Carmen au Festival Avenches Opéra. Il se consacre actuellement à la création de chorégraphies, pièces de théâtre et mises en scène.
Il a travaillé comme régisseur, assistant à la mise en scène et assistant à la chorégraphie pour de nombreuses productions de l’Opéra de Lausanne, dont My Fair Lady (2015), La vie parisienne (2016) et Don Giovanni (2017).