Nouvelle production de l’Opéra de Lausanne
Le Moyen-Âge lui sert de prétexte et de décor, comme l’Antiquité à Offenbach. La dérision, le ridicule et la parodie, sur des mélodies populaires, sont au rendez-vous de ce pastiche en musique, où l’on se plaira à suivre les aventures des dames Mélusine, Totoche et Angélique. Les chevaliers Rodomont et Roland, ainsi que Merlin, participent à cette comédie enlevée et hilarante.
* Le jour de la représentation, la billetterie en ligne est fermée dès 12h.
Des places sont en vente sur place 1h avant le début du spectacle.
Paroles de Henri Chivot et Alfred Duru
Première représentation de la version originale au Théâtre des Bouffes-Parisiens, Paris, le 17 novembre 1866
Version définitive représentée au Théâtre des Folies-Dramatiques, Paris, le 2 mars 1872
Nouvelle production de l’Opéra de Lausanne
Jacques Blanc étudie le piano au Conservatoire de Marseille et la direction d’orchestre avec Jésus Etcheverry. Il commence comme chef de chant puis devient chef de choeur aux opéras de Nantes et Strasbourg. Il assiste Jeffrey Tate et George Prêtre, puis devient lui-même chef d’orchestre à Bordeaux, Montpellier, Limoges, Nice et Nantes. De 1986 à 1988, il est directeur des études vocales au CNIPAL de Marseille. De 1999 à 2010, il est chef de chœur permanent et directeur des études vocales de l’Opéra de Bordeaux, et participe notamment à Turandot, Carmen et La bohème. Il se consacre aujourd’hui à la direction et à l’étude du répertoire avec de jeunes chanteurs afin de les orienter dans leurs carrières.
Il a récemment dirigé La Traviata lors d’une tournée avec l’Opéra en Plein Air. À l’Opéra de Lausanne : Die Zauberflöte (1991) en tant qu’assistant d’Armin Jordan ; Phi-Phi (2014) et La belle de Cadix (2016) en tant que chef d’orchestre ; Manon (2014), La veuve joyeuse (2014), My fair Lady (2015), Les mamelles de Tirésias (2016), La vie parisienne (2016), La bohème, Hamlet et Lucia di Lammermoor (2017), La Chauve-Souris (2018) comme chef de chœur.
Jean-François Vinciguerra étudie l’art dramatique à l’ENSATT, l’art lyrique au Conservatoire de Paris avec Michel Roux et à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris avec Michel Sénéchal. Il se perfectionne auprès de Denise Dupleix et Lionel Sarrazin. A l’Opéra Bastille, il interprète Wagner de Faust ; à l’Opéra Comique, Bartolo du Barbiere di Siviglia et le baron Popoff dans La veuve joyeuse. Il se produit également dans Salome, Lucrezia Borgia, L’elisir d’amore, La damnation de Faust, Les contes d’Hoffmann…, sur de nombreuses scènes d’Europe et lors de grands festivals. En tant que comédien et metteur en scène, il remporte un vif succès au Théâtre du Petit Montparnasse avec son spectacle consacré à Jean Yanne, On n’arrête pas la connerie. À l’Opéra de Lausanne : Pickering dans My fair Lady (2015), Frank dans La Chauve-Souris (2018).
Après une licence d’italien, Laurène Paternò intègre la Haute école de musique de Lausanne en bachelor et y obtient un master de soliste en 2019. Dans ce cadre, elle participe à une création musicale suisse donnée à Rio de Janeiro à l’occasion des Jeux olympiques de 2016. Elle interprète en outre les rôles de Blanche de la Force (Dialogues des Carmélites) et de Susanna (Le nozze di Figaro). Elle fait ensuite ses débuts en tant que Serpina (La serva padrona) dans une production de l’Opéra de Lausanne donnée au Bhoutan en 2018. Elle se produit au Nouvel Opéra de Fribourg en campant les rôles de Sofiya, Yelena et un agent du KGB dans Laïka, le chien dans l’espace de Russell Hepplewhite. En 2020, elle fait partie de la programmation de l’Opéra Comique de Paris pour une reprise de Laïka, le chien dans l’espace. Elle est aussi Fille-Fleur dans Parsifal au Grand Théâtre de Genève en 2021, et Mélusine dans une reprise des Chevaliers de la Table ronde à l’Opéra Grand Avignon. Elle a fait ses débuts en 2022 au Théâtre des Champs-Elysées et au Théâtre de Caen dans le rôle de Despina (Così fan tutte), nouvelle production de Laurent Pelly et Emmanuelle Haïn, ainsi qu’au Festival de Glyndebourne pour doubler le rôle de Thérèse dans Les mamelles de Tirésias de Poulenc (mise en scène de Laurent Pelly). Elle remporte le 1er prix du concours Kattenburg à l’Opéra de Lausanne en 2019 et le 2e prix du concours Corsica Lirica en 2021.
À l’Opéra de Lausanne : La serva padrona (Bouthan 2018), Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), La belle Hélène (2020) et Dédé (Route Lyrique 2021).
Anne Sophie Petit est titulaire d’un master de soliste de la Haute école de musique de Lausanne, dans la classe de Stephan MacLeod. Jeune talent de l’Académie Philippe Jaroussky en 2019/20, elle est également lauréate de la Fondation Royaumont, membre du Studio de l’Opéra de Lyon (2020/21) et remporte le Concours Mahler de Genève en 2020, en duo avec le pianiste Marcell Vigh. Elle fait ses débuts sur scène à l’Opéra de Lausanne en 2017 dans le rôle de Musetta (La bohème). On a pu l’entendre sur des scènes telles que l’Opéra de Rouen, le Théâtre des Champs-Élysées et le Concertgebouw d’Amsterdam, où elle a fait ses débuts en Reine de la Nuit. Elle a collaboré avec des ensembles tels que Gli Angeli Genève, Les Ambassadeurs – La Grande Écurie, Le Concert de la Loge, l’Orchestre du XVIIIe Siècle et l’Ensemble Correspondances.
À l’Opéra de Lausanne: La bohème (2017), Cendrillon (2018), Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019) et Pinocchio (2023).
Pour la première fois à l’Opéra de Lausanne.
Né en Valais, Pierre Héritier est initié au chant dès son plus jeune âge au sein de la Schola des Petits Chanteurs de Sion. Après des études universitaires, il intègre la Haute école de musique de Genève, dans la classe de Gilles Cachemaille. Pendant ses études, il profite de l’enseignement d’Isabelle Henriquez et David Jones entre autres. De 2014 à 2017, il est membre de l’Opéra Studio de l’Opéra de Lyon où il travaille avec Jean-Paul Fouchécourt. A l’Opéra de Lyon, il chante l’Horloge/Le Chat (L’enfant et les sortilèges), Mme Madou (Mesdames de la Halle), Tom (Le Petit Poucet, Aboulker), Liberto/Littore (L’incoronazione di Poppea), sous la direction de Martyn Brabbins, Philippe Forget, Nicholas Jenkins, Sébastien d’Hérin. En octobre 2017, il remporte le 1er prix Homme du Concours International de Vivonne. En 2011, il est membre de l’Académie Baroque d’Ambronay, placée sous la direction de Sigiswald Kuijken. En 2013, il participe à la création de 4.48 Psychosis de Blaise Ubaldini, sous la direction de Pierre Bleuse. Sur scène, il chante notamment les rôles de Don Giovanni, Papageno, Guglielmo, Junius (The rape of Lucretia), Harasta (La petite renarde rusée)… Dernièrement, il a remporté un vif succès en incarnant le rôle de Lord Cockburn dans Fra Diavolo d’Auber à Zurich.
Mezzo-soprano franco-italienne née à Milan, Béatrice Nani intègre en 2014 la Haute école de musique de Lausanne dans la classe de Brigitte Balleys et obtient son master de chant en 2019. Elle se perfectionne aujourd’hui auprès de Jeanne-Michele Charbonnet. Passionnée par le théâtre, elle se forme auprès de Gaëlle Bourgeois et Fiona Chauvin à Paris, et reçoit les précieux conseils de Thierry Pillon, Jean-Yves Ruf et Shin Iglesias. En 2016, elle fait ses débuts à Genève et crée le rôle d’Ella Maillart dans Le Ruisseau noir de Guy-François Leuenberger au Théâtre du Grütli. Elle interprète ensuite Loïs dans Kiss Me, Kate de Cole Porter au Théâtre du Galpon. On a également pu l’entendre dans le Requiem de Bottesini au Victoria Hall. En 2022, elle fait ses débuts en France et interprète La Mère dans l’opéra contemporain pour enfants Le Petit Chaperon rouge de Guy-François Leuenberger à l’Opéra de Tours. En 2023, elle chante le rôle- titre dans Carmen de Bizet en tournée en Suisse. Au cours de la saison 2023/24, elle est Mercedes dans Carmen et Didon dans Dido and Aeneas. On peut l’entendre également dans la Misa a Buenos Aires de Palmeri et en concert avec l’Orchestre de Chambre de Lausanne sous la direction de Marc Leroy-Calatayud. Artiste engagée, elle crée la compagnie Les Rocambolantes avec la pianiste Émilie Roulet et porte de nombreux projets de spectacles et de médiation en faveur des jeunes publics et des publics empêchés. Le spectacle Mimi and the Blondies qu’elle monte avec la soprano Anne-Sophie Petit remporte le prix Lavaux Classic
À l’Opéra de Lausanne : La Vie parisienne (2016), Le Chanteur de Mexico (2017), Cendrillon (2018), Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), Dédé (Route Lyrique 2021), Candide (2022), Orphée aux Enfers (2023).
Formé par Blandine de Saint-Sauveur et Leontina Vaduva, Hoël Troadec a récemment fini sa formation à la Haute école de musique de Lausanne. Son parcours est déjà émaillé de nombreuses prises de rôle telles celles de Nathanaël (Les Contes d’Hoffmann), Beppe (Rita), Silvio (Le Docteur Miracle), Bénédict (Béatrice et Bénédict), Gardefeu (La Vie parisienne), le chevalier de la Force (Dialogues des Carmélites), Pâris (La Belle Hélène), Roland (Les Chevaliers de la Table ronde), Schmidt (Werther), Tonio (La Fille du régiment) et Nemorino (L’elisir d’amore). Ses rôles l’ont amené à se produire sur des scènes prestigieuses comme celles des Bregenzer Festspiele, de l’Opéra de Massy, de l’Opéra de Clermont-Ferrand, de l’Opéra de Vichy, de l’Opéra de Lausanne et, récemment, de l’Opéra de Lyon.
À l’Opéra de Lausanne : Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), La Belle Hélène (2019), Le Petit Chaperon rouge (2021), Candide (2022) et L’Île de Tulipatan (Route Lyrique 2023)
Le ténor français Jean Miannay étudie le chant à Lausanne auprès de Brigitte Balleys, ainsi qu’à Berlin dans la classe de Scot Weir. Il se distingue dès 2018 lors du 4e Concours Raymond Duffaut, où il remporte le grand prix. Suite à cela il décroche différentes distinctions au Concours de Clermont-Ferrand, au Concours Kattenburg, ainsi qu’au 2e Concours international de musique de Vienne. Sa voix de jeune lyrique l’amène à interpréter des rôles comme Tamino (Die Zauberflöte), Ferrando (Così fan tutte), Beppe (Pagliacci), Nemorino (L’elisir d’amore), Alfredo (La traviata), Vincent (Mireille), ou encore Des Grieux (Manon). En 2018, il fait ses premiers pas à l’Opéra de Lausanne, où il se produit régulièrement par la suite. Il chante en France aux opéras de Massy, d’Avignon et de Clermont-Ferrand, ainsi qu’aux Chorégies d’Orange pour la quatrième année consécutive. En 2022, il fait ses débuts en Allemagne au Theater Magdeburg dans une production d’Orpheus in der Unterwelt. De nature curieuse, il s’épanouit également dans la création contemporaine ainsi qu’en musique de chambre. Il chante notamment Les Illuminations et la Sérénade pour cor et ténor de Benjamin Britten, le Journal d’un disparu de Janáček et la Dichterliebe de Schumann. Il est attendu cet été en Remendado (Carmen) aux Chorégies d’Orange et intègre l’Opéra Studio du Rhin pour la saison 2023/24.
À l’Opéra de Lausanne: Cendrillon de Pauline Viardot (2018), Les Contes d’Hoffmann (2019), Rinaldo (2020), L’Auberge du Cheval-Blanc (2021), Semiramide, Eugène Onéguine et L’elisir d’amore (2022).
Formé pour la comédie à l’E.N.S.A.T.T et à l’Ecole Florent, Richard Lahady étudie également le chant. Il débute à l’Opéra de Saint-Etienne et, dans cette même ville, participe au Festival Massenet. Ces dernières années, l’Opéra de Lausanne lui a offert de nombreux rôles. On a pu l’entendre en Langlois dans Les Mousquetaires au couvent à l’Opéra Comique. Il participe aussi régulièrement aux productions de l’Opéra de Paris et de l’Opéra de Lyon, ainsi qu’à de nombreux festivals français et suisses.
À l’Opéra de Lausanne : Die lustige Wittwe (2014), My fair Lady (2015), La vie parisienne (2016), Le chanteur de Mexico (2017), Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), La belle Hélène (2019) et Dédé (Route Lyrique 2021).
Le baryton suisse étudie à la Haute Ecole de Musique de Lausanne dans la classe de Frédéric Gindraux, avant de déménager à Londres pour y travailler avec Prof. Rudolf Piernay à la Guildhall School of Music and Drama, où il obtient un Artist Diploma avec distinction. Il travaille également avec Dame Felicity Lott, François Le Roux, Eugene Asti ou Graham Johnson, qu’il assiste notamment pour son dernier ouvrage sur la vie de Francis Poulenc, « Poulenc: The Life in the Songs », paru aux éditions Liveright. Il chante plusieurs rôles pour l’Opéra de Lausanne, dont le rôle-titre de l’opérette Dédé de Christiné, Melchior dans Amahl et les Visiteurs du Soir de Menotti, Maximilian dans Candide de Bernstein ou encore Urbain dans la Vie Parisienne d’Offenbach. et y crée des récitals pour enfants ainsi qu’un workshop durant les Jeux Olympiques de la Jeunesse de Lausanne en 2020. On l’y entend également chanter le Berliner Requiem de Weill lors du concert exceptionnel du choeur de l’Opéra. Il travaille pour le LSO (London Symphony Orchestra) à plusieurs reprises (Journée découverte autour de la musique de Michael Tippett, soliste pour la Nelson Messe de Haydn ou curateur d’un récital dans la série « Futur: les voix musicales de notre temps »), la BBC (« Immersion dans la musique de Detlev Glanert ») ou le Wigmore Hall (groupes d’études autour de la musique vocale de Schumann, de Ravel, un récital de musique contemporaine et un récital de mélodies françaises). Il fait partie du French Song Exchange entre le Wigmore Hall et la Salle Cortot à Paris, où il a la chance de faire ses débuts en 2019 et de revenir régulièrement s’y produire. Le chanteur, artiste de la fondation Samling, reçoit le titre d’ambassadeur de la mélodie par le festival Oxford Lieder pour l’année 2020. Il entre dans le placement de concerts du Pour-cent culturel Migros, dont il est également boursier, ainsi que des fondations Friedl-Wald et Colette Mosetti. Il participe à la finale du prestigieux concours Kathleen Ferrier de Londres et est également finaliste du Young Classical Artist Trust en 2022. Il remporte l’English Song Prize en 2020, le deuxième prix et le prix du public au concours Kattenburg en 2019, le troisième prix et tous les prix spéciaux de l’édition 2022 ainsi que le deuxième prix au Somerset Song Prize. Ses engagements futurs comprennent le SongStudio 2023 au Carnegie Hall de New York avec Renée Fleming, une série de récital en Angleterre et au Canada avec le pianiste Cole Knutson pour le festival Oxford Lieder notamment, le rôle de Maximilian dans Candide de Bernstein à l’Opéra de Lausanne, ainsi que la reprise de My fair Lady.
À l’Opéra de Lausanne: My fair Lady (2015), La Belle de Cadix (Route Lyrique 2016), L’Orfeo (2016), La vie parisienne (2016), Amahl et les visiteurs du soir (2017), Les chevaliers de la table ronde (Route Lyrique 2019), Dédé (Route Lyrique 2021) et Candide (2022).
Bastien Combe étudie la trompette et le chant à Grenoble avant de poursuivre sa formation de chanteur à Neuchâtel avec Marcin Habela. Il est finaliste du concours de lied Mahler de Genève. En concert, il chante l’Evangéliste dans l’Oratorio de Noël de Bach avec l’Orchestre de la Suisse Romande. Sur scène, il interprète les rôles de D’Estourville (Ascanio de Saint-Saëns) à Genève et de Tamino (Die Zauberflöte) à Berne, d’Hortensio (Kiss me, Kate) et d’Herr Schulz (Cabaret) au Théâtre du Galpon à Genève. En décembre 2021, sous la baguette de Paul Agnew, Bastien chante comme soliste avec l’orchestre baroque de la Haute Ecole de Musique de Genève lors d’un concert de cantates de Bach et Buxtehude.
A l’Opéra de Lausanne : Les chevaliers de la table ronde (2019)
Le ténor franco-suisse Maxence Billiemaz étudie le chant à la Haute école de musique de Genève. Il apparaît sur scène dans des rôles comme. Nemorino (L’elisir d’amore) ou Bastien (Bastien et Bastienne). Il participe aux enregistrements d’Ascanio de Saint-Saëns au Grand Théâtre de Genève et de La Sorcière d’Erlanger au Victoria Hall. Il chante en soliste dans des ensembles tels que la Cappella Mediterranea, l’Ensemble Vocal de Lausanne, le Chœur de Chambre de Na- mur, Orlando ou Les Talens Lyriques. Il se produit aussi dans des comédies musicales comme Kiss Me, Kate de Cole Porter (où il est Bill Calhoun) ou Cabaret de John Kander (en Clifford Bradshaw).
À l’Opéra de Lausanne : Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), Dédé (Route Lyrique 2021), Werther (2022), My Fair Lady (2022), Cendrillon (2023) et Die Zauberflöte (2024).
Jean-Philippe Guilois entre à l’École nationale de l’Opéra de Paris en 1997 puis rejoint l’École Rudra Béjart, avec laquelle il participe à plusieurs spectacles et tournées internationales. Il fait sa première expérience professionnelle au sein de la Compagnie Buissonnière dans Parce que je t’aime, présenté au Théâtre de Vidy-Lausanne. Tout en multipliant les contrats en tant que danseur, il est introduit au monde de l’opéra comme régisseur, puis sera assistant à la mise en scène pour La bohème, Nabucco, Carmen et Madama Butterfly au Festival Avenches Opéra, L’Aiglon et La traviata à l’Opéra de Marseille, Armide et Cendrillon à l’Opéra de Nancy, Falstaff à l’Opéra de Montpellier, de My Fair Lady à l’Opéra de Marseille, d’Un ballo in maschera à l’Opéra de Nancy et de Tannhäuser à l’Opéra national de Lyon. Il se consacre actuellement à la création de chorégraphies, pièces de théâtre et mises en scène.
À l’Opéra de Lausanne : Alcina (2011), My Fair Lady (2015), La Vie parisienne (2016), Don Giovanni (2017), Così fan tutte (2018), Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), L’Auberge du Cheval-Blanc (2021) et Dédé (Route Lyrique 2021), My Fair Lady (2022) et Davel (2023).
Jean-François Vinciguerra étudie l’art dramatique à l’ENSATT, l’art lyrique au Conservatoire de Paris avec Michel Roux et à l’Ecole d’Art Lyrique de l’Opéra de Paris avec Michel Sénéchal. Il se perfectionne auprès de Denise Dupleix et Lionel Sarrazin. A l’Opéra Bastille, il interprète Wagner de Faust ; à l’Opéra Comique, Bartolo du Barbiere di Siviglia et le baron Popoff dans La veuve joyeuse. Il se produit également dans Salome, Lucrezia Borgia, L’elisir d’amore, La damnation de Faust, Les contes d’Hoffmann…, sur de nombreuses scènes d’Europe et lors de grands festivals. En tant que comédien et metteur en scène, il remporte un vif succès au Théâtre du Petit Montparnasse avec son spectacle consacré à Jean Yanne, On n’arrête pas la connerie. À l’Opéra de Lausanne : Pickering dans My fair Lady (2015), Frank dans La Chauve-Souris (2018).
Jacques Blanc étudie le piano au Conservatoire de Marseille et la direction d’orchestre avec Jésus Etcheverry. Il commence comme chef de chant puis devient chef de choeur aux opéras de Nantes et Strasbourg. Il assiste Jeffrey Tate et George Prêtre, puis devient lui-même chef d’orchestre à Bordeaux, Montpellier, Limoges, Nice et Nantes. De 1986 à 1988, il est directeur des études vocales au CNIPAL de Marseille. De 1999 à 2010, il est chef de chœur permanent et directeur des études vocales de l’Opéra de Bordeaux, et participe notamment à Turandot, Carmen et La bohème. Il se consacre aujourd’hui à la direction et à l’étude du répertoire avec de jeunes chanteurs afin de les orienter dans leurs carrières.
Il a récemment dirigé La Traviata lors d’une tournée avec l’Opéra en Plein Air. À l’Opéra de Lausanne : Die Zauberflöte (1991) en tant qu’assistant d’Armin Jordan ; Phi-Phi (2014) et La belle de Cadix (2016) en tant que chef d’orchestre ; Manon (2014), La veuve joyeuse (2014), My fair Lady (2015), Les mamelles de Tirésias (2016), La vie parisienne (2016), La bohème, Hamlet et Lucia di Lammermoor (2017), La Chauve-Souris (2018) comme chef de chœur.
Après des études d’électronicien, Denis Foucart fait ses premiers pas dans l’événementiel, réalisant les éclairages de nombreuses manifestations à travers le monde, dont le concert de Jean Michel Jarre, produit pour l’entrée en l’an 2000, en Égypte. De 2000 à 2003, il est engagé comme régisseur lumières pour les tournées internationales des comédies musicales Notre dame de Paris et Roméo et Juliette. Fin 2003, il devient chef éclairagiste du Béjart Ballet Lausanne, et signe ses premiers éclairages de ballets avec les productions de Zarathoustra, La vie du danseur, ou encore Le tour du monde en 80 minutes. Pour le Festival Avenches Opéra, il crée les lumières de La bohème et de Nabucco.
les lumières de La bohème et de Nabucco. Chef électricien à l’Opéra de Lausanne depuis 2008, il reprend les lumières de Pierre et le loup, Die Zauberflöte, La veuve joyeuse, L’enfant et les sortilèges et crée celles de Phi-Phi (Route Lyrique 2014), de La Belle de Cadix (Route Lyrique 2016), Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019) et Dédé (Route Lyrique 2021) ainsi que celles de l’opéra jeune public, Amahl et les visiteurs du soir en 2017 et Cendrillon en 2018 et 2023.
Après une formation de costumière de théâtre Amélie Reymond est engagée à l’Opéra de Lausanne comme couturière et habilleuse de 2002 à 2009. Elle participe à la réalisation de nombreux costumes pour diverses productions d’opéra. C’est dans ce contexte qu’on lui confie également la réalisation complète des costumes pour Les moutons bleus, en 2008, et pour L’enfant et les sortilèges, en 2010. Elle ouvre son propre atelier en 2007, où elle crée et réalise des costumes pour divers théâtre, comédies musicales, danse et expositions. Elle est nommée responsable adjointe du service costumes de l’Opéra de Lausanne de 2009, puis responsable du service costumes en 2016. De 2012 à 2016, elle est également responsable des costumes pour Avenches Opéra ; elle y travaille comme assistante du costumier pour la production de Carmen, en 2014, et signe sa première création de costumes d’opéra en 2015 pour Il barbiere di Siviglia.
À l’Opéra de Lausanne : elle crée les costumes de La Belle de Cadix (Route Lyrique 2016), Les Zoocrates (2017) et Les chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019).
Jean-Philippe Guilois entre à l’École nationale de l’Opéra de Paris en 1997 puis rejoint l’École Rudra Béjart, avec laquelle il participe à plusieurs spectacles et tournées internationales. Il fait sa première expérience professionnelle au sein de la Compagnie Buissonnière dans Parce que je t’aime, présenté au Théâtre de Vidy-Lausanne. Tout en multipliant les contrats en tant que danseur, il est introduit au monde de l’opéra comme régisseur, puis sera assistant à la mise en scène pour La bohème, Nabucco, Carmen et Madama Butterfly au Festival Avenches Opéra, L’Aiglon et La traviata à l’Opéra de Marseille, Armide et Cendrillon à l’Opéra de Nancy, Falstaff à l’Opéra de Montpellier, de My Fair Lady à l’Opéra de Marseille, d’Un ballo in maschera à l’Opéra de Nancy et de Tannhäuser à l’Opéra national de Lyon. Il se consacre actuellement à la création de chorégraphies, pièces de théâtre et mises en scène.
À l’Opéra de Lausanne : Alcina (2011), My Fair Lady (2015), La Vie parisienne (2016), Don Giovanni (2017), Così fan tutte (2018), Les Chevaliers de la Table ronde (Route Lyrique 2019), L’Auberge du Cheval-Blanc (2021) et Dédé (Route Lyrique 2021), My Fair Lady (2022) et Davel (2023).